Orchestres de chambre | Quintette à plectres | Musiques mixtes (support acousmatique & temps réel)
• Pièces Électroacoustiques Acousmatiques
• Projets d'Expositions
COMPOSITRICE
, diplômée du CNRR de Marseille, en Musique à l'image (DEM 2025), et en Électroacoustique (CEM 2021).
• Ses pièces électroacoustiques ont été projetées sur acousmoniums : (à Marseille : "Oreille concrète", CNRR • GMEM-CNCM • "Tintamarres", Cité de la musique • Semaine acousmodrôme, Vidéodrôme2 • P_node, Vibération • "Supersonique", Comptoir de la Victorine ; à Toulouse : "Sonoptic", Mix’Art Myrys ; à Amiens : "Journées Nationales Musique Électroacoustique – SIMEC"), et diffuse sur les ondes "concerts sous casque" (P-node radiostream, Radio Nunc)
• Ses musiques originales & compositions à l'image ont été jouées à destinations d'expositions, de courts-métrages, et lors de ciné-concerts
(Marseille, CNRR • "Festival Music&Cinéma", Cinéma Artplexe, Théâtre La Criée • Festival "Propagations", Gmem-CNCM • Semaine Acousmodrôme, Vidéodrôme2 • Cinéma Les Variétés • Cinéma Gyptis • "Mandol'in Marseille" • Friche de la Belle de Mai...)
« Tergiversations » est une composition qui explore différents mouvements, et s’inspire des UST, mais dont le fil tortille volontairement... à ne retomber dans la même couleur des objets sonores qui se précèdent ou se suivent.
Élan pris en friture, girations, chutes, rebonds, f-r/l-ottements ou hauteurs en suspens, les matériaux d’origine – avant détournement – sont plutôt nature concrète et composent avec des voix et instruments acoustiques.
Avec les voix ciselées du Chœur tac-til : N. Muslera, F. Omer, A. Quérel, A. Huguenin, C. Harzallah, M. da Camara, B. Raby, F. Parra, G. Elhassouni, M. Duchesne
Das Schöpfwerk est un film expérimental de Jürgen Reble, construit à partir de found footage, pellicules altérées par des procédés chimiques.
L’image y devient matière vivante, traversée de textures organiques et de décompositions colorées.
Sans narration, le film évoque la création et la transformation à l’état brut. C’est une œuvre sensorielle, entre abstraction visuelle et méditation sur le temps.
" L'attaque de Pearl Harbor du 7 décembre a motivé le peintre et cinéaste abstrait Francis Lee à produire ces images évocatrices des horreurs de la guerre. Les dessins de peinture mouillée éclaboussés et les ampoules cassées font allusion à la destruction insensée. Les visuels puissants sont renforcés par les rythmes entraînants de La musique atonale agressive de Stravinsky " - Bruce Posner
" Le rendu émotionnellement puissant de Lee de l'attaque japonaise sur Pearl Harbor est présenté comme une peinture d'action abstraite et animée, ses couleurs saturées étant rendues possibles grâce au nouveau Kodachrome 16 mm. Enfin, les couleurs primaires cèdent la place aux gris, aux noirs et aux bruns, alors que le monde est métaphoriquement transformé en un champ de bataille de cendres " - Jan-Christophe Horak